samedi 18 mai 2013

Du Marais et de la radio avec des vrais morceaux de Nanashi à l'intérieur


Ai-je déjà évoqué toute l'affection que j'ai pour Nanashi ?
Avec sa salle poético berlinoise, son public très entre-soi de communicants, créatifs et jolis minois tenant leur rôle, ses nourritures bienveillantes, Nanashi est emblématique de l'amour-haine envers mon cher haut Marais. Selon l'humeur du jour, amusement ou agacement prennent le dessus. Hier, à peine débarquée d'Inde, le contraste culturel était évidemment au plus haut. 
Bien loin des ruelles moites de Calcutta, j'observe le défilé, les élégances négligées, les moues boudeuses, désinvoltures appliquées. Délicieux spectacle.