Cher public, pas d'inquiétudes. Je vous laisse seuls à vos fourneaux pour quelques semaines de voyage au Laos et nord ouest vietnamien. Mais si Dieu (ou le garde du poste frontière) le veut, je reviendrais vivante et pleine d'inspiration ; peut-être l'ambiance culinaire est-elle moins verte ailleurs ... mais sûrement aussi vache-qui-riesque.
Alors que le four du 135/17/31 disparaît sous une couche de poussière blanchâtre, l’électro surgit au beau milieu de l’amphithéâtre d’un bâtiment délâbré de Mac Dinh Chi Street, musique tout droit venue d’une autre sphère, probablement plus chantante que celle des saïgonnais klaxons désenchanteurs. Certaines couleurs désertent le giron, comme le noir, remplacé in extremis par l’azur joyeux de l’ingénierie estudiantine. Et, tant qu’à critiquer, autant ajouter qu’avec le florilège apocalyptique des notules cinématographiques simplistes, la démocratisation du propos didactique n’est pas pour demain, sauf peut-être là où la critique se raconte comme on débutait autrefois les contes pour enfants…
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